Comment perdre du poids ? Conseils pour ne plus stresser
Le fait de trop manger est souvent le résultat d'un état émotionnel fait de stress et d’angoisse. LineCoaching est là pour vous aider à prendre conscience de cet état, et à perdre du poids en retrouvant une relation plus sereine à la nourriture.
1) Le bien-être, l'acceptation et le respect de soi précèdent la perte de poids
Les personnes qui font face à des problèmes de poids depuis plusieurs années ont tendance à idéaliser les gens minces. A croire que ceux-ci ont une vie absolument géniale et sans zone d'ombre. STOP ! Il est essentiel de cesser de se focaliser sur la vie soi-disant parfaite de Nathalie ou Sophie, « si minces », et de ramener l'attention sur soi. Le bien-être, l'acceptation et le respect de soi précèdent la perte de poids, pas l'inverse ! En somme, acceptez-vous ne serait-ce qu'un tout petit peu plus, et ensuite nous pourrons aborder plus sereinement la perte de poids. Commençons dès maintenant : trouvez-vous une qualité. Juste une. Et célébrez-là. Recommencez demain.
2) Stress, inquiétude, ennui… autant de facteurs qui poussent à manger… et à grossir
Lorsqu'on a tendance à trop manger, et donc à grossir, on en vient à considérer sa relation à la nourriture comme un combat, et à penser que ce combat est perdu d'avance. On s'estime incapable de commencer un pot de glace sans le finir, incapable d'ouvrir une tablette de chocolat sans en avaler la moitié... Et on imagine que les « autres » ont un contrôle absolu de la situation. STOP ! On se calme. Ceux qui cherchent à contrôler perdent le contrôle ! Ceux qui cherchent à écouter leurs besoins laissent leurs mécanismes neurophysiologiques exercer le contrôle et cela s’avère plus efficace et bien moins exténuant que l’appel à la volonté !
Il est tout à fait possible de soigner ses compulsions alimentaires avec des méthodes comme les thérapies cognitivo-comportementales et les thérapies cognitivo-émotionnelles. Celles-ci vont permettre de travailler sur les sensations alimentaires et les émotions plutôt que sur le contenu de l’assiette. Avant de manger quelque chose, interrogez-vous une seconde, sans vous juger : où se situe votre appétit, vous avez très faim ou peu faim ? Etes-vous en fait dans un état de stress ou d’inquiétude, vous vous ennuyez ? Est-ce pour fuir cela que vous pensez autant à la nourriture ?
3) Ecouter son appétit signifie manger assez pour arriver à satiété
Lorsqu'on mange en groupe, il arrive qu'on ne fasse absolument pas attention aux quantités que l'on avale et à notre appétit réel. On mange trop, trop vite. Peut-être par malaise, car finalement on ne sent pas si bien que ça à cette table ; ou peut-être par habitude, car on s'est habitué à manger tout ce que le menu du jour incluait ; ou pour d'autres raisons... Il est important de retrouver la capacité à écouter son appétit, comme un enfant capable de laisser la moitié de son assiette, non pas pour faire un caprice mais parce qu'il n'a plus faim.
Ecouter son appétit signifie manger assez pour arriver à satiété. Mais sans dépasser ce stade, sans avoir besoin de déboutonner son pantalon à la fin du repas. Il est donc essentiel de réussir à cerner ce moment clé où la faim disparaît. Tentez ceci : prenez une minute de pause avant de commencer à manger, votre assiette devant vous, afin de mieux évaluer votre appétit réel. Pendant le repas, refaites quelques pauses, posez vos couverts, respirez, sentez comme votre estomac se remplit. Vous n'avez plus faim ? Ne vous forcez pas ! Vous pourrez toujours manger plus tard si la faim revient !
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